Poutine les Turcs “vont regretter ce qu’ils ont fait” Vladimir Poutine – AFP La Turquie regrettera d’avoir abattu un bombardier Soukhoï russe près de la frontière syrienne le 24 novembre, a déclaré jeudi le président russe, Vladimir Poutine, en ajoutant qu’on ne pouvait pas ignorer le fait qu’Ankara “aide les terroristes”. Russie«Allah a décidé de priver le gouvernement turc de la raison» 14:49 Les forces d’occupation ont demandé à la famille de la martyre Shireen Abu Akleh de décrocher les drapeaux palestiniens, mais la famille a refusé; 14:36 Les forces d’occupation ont demandé aux personnes présentes dans la maison de Shireen Abu Akleh de ne pas se rassembler et de ne pas diffuser des Celafait plus de 20 ans que je ne passe pas un jour sans regretter de ne pas avoir dit à mes parents que je les aimaient et les remercier pour tout ce qu’ils ont fait pour moi. Le plus dure a été, ma mère car, en 1993, elle fut renversée par une voiture et, après une hémorragie cérébrale, resta aphasique, sans pouvoir parler ni comprendre, pendant trois ans, pour mourir dans un cash. La Russie "n'oubliera jamais" la destruction d'un avion militaire russe le 24 novembre au-dessus de la frontière syrienne et les Turcs "vont regretter ce qu'ils ont fait", a prévenu jeudi le président russe Vladimir Poutine."Nous n'oublierons jamais cette complicité avec les terroristes. Nous considèrerons toujours la trahison comme l'un des pires et des plus vils actes. Que ceux en Turquie qui ont tiré dans le dos de nos pilotes le sachent", a déclaré le président lors de son adresse annuelle devant les parlementaires, le gouvernement et les gouverneurs des régions de Russie."Je ne comprends pas pourquoi ils ont fait ça. Seul Allah le sait", a-t-il ajouté, suscitant les applaudissements de l'assemblée."Il semble qu'Allah ait décidé de punir la clique au pouvoir en Turquie en la privant de la raison et du bon sens"."Il ne faut pas attendre de nous une réaction nerveuse, hystérique, dangereuse pour nous et pour le monde entier", a-t-il promis. "Nous n'allons pas brandir les armes"."Mais si quelqu'un pense que pour un crime de guerre aussi lâche, le meurtre de nos concitoyens, ils en seront quittes avec des tomates ou des sanctions dans le secteur des travaux publics ou dans d'autres secteurs, ils se trompent lourdement. Ce n'est pas la dernière fois que nous leur rappellerons ce qu'ils ont fait, ni la dernière fois qu'ils vont regretter ce qu'ils ont fait", a-t-il menacé.La Russie a mis en place une série de sanctions économiques contre la Turquie, visant principalement les secteurs de l'agriculture, des travaux publics, de l'énergie et du tourisme, en rétorsion à la destruction d'un avion russe le 24 novembre au-dessus de la frontière cet incident, le ton n'a cessé de monter entre les deux pays, l'armée russe accusant mercredi le président turc Recep Tayyip Erdogan et sa famille d'être "impliqués" dans le trafic de pétrole avec le groupe Etat islamique."Nous savons qui en Turquie s'en met plein les poches et permet aux terroristes de gagner de l'argent en vendant du pétrole pillé en Syrie", a de nouveau déclaré M. Poutine, accusant Ankara d'avoir également soutenu les rebelles du Caucase du Nord dans les années 1990 et 2000 au moment où Moscou combattait les séparatistes tchétchè accuse à son tour la Russie d'être impliquée dans le trafic de pétrole de l'EILe président turc Recep Tayyip a dénoncé jeudi les accusations "immorales" lancées contre sa famille par la Russie, qui affirme que ses proches bénéficient de la contrebande de pétrole à laquelle se livre l'organisation État islamique en Syrie. Il a ensuite affirmé qu'il détenait des "preuves" de l'implication de la Russie dans ce trafic de pétrole du groupe djihadiste. "Nous avons des preuves. Nous allons commencer à les révéler au monde", a-t-il dit lors d'une allocution devant des syndicalistes à Ankara, citant notamment le nom de l'homme d'affaires syrien George Haswani, "titulaire d'un passeport russe". Comme toujours, Yoda voyait juste – et la science lui donne raison. Un grand nombre d'études ont établi que la confiance en soi est la vraie clé de la réussite. Dans L'Empire contre-attaque, au moment où Yoda forme Luc pour en faire un Jedi, il illustre devant son élève la puissance de la Force en faisant léviter un chasseur stellaire X-Wing enlisé dans un marécage. Luke murmure alors "Je n'arrive pas à y croire!" Et Yoda de lui répondre "C'est pour cela que tu échoues." Comme d'habitude, Yoda voyait juste – et la science lui donne raison. Un grand nombre d'études ont établi que la confiance en soi est la vraie clé de la réussite. Des études cherchant à expliquer l'écart de performance entre les hommes et les femmes en mathématiques et en termes d'habileté visuo-spatiale ont montré que la confiance exerce en la matière une influence énorme. Les femmes à qui l'on avait demandé d'indiquer leur sexe avant d'effectuer un test de compétence spatiale ont obtenu de moins bons résultats que celles qui en avaient été dispensées. Les femmes ont également mieux réussi quand on leur a demandé d'imaginer qu'elles étaient des hommes. Enfin, les sujets des deux sexes ont obtenu de meilleurs résultats quand on leur a expliqué au préalable que les individus de leur sexe étaient les meilleurs pour cette tâche. Mais il y a encore plus intéressant quand on a exigé des sujets qu'ils répondent à toutes les questions du test, l'écart de performance entre les deux sexe s'est presque évaporé. À ce qu'il semble, les femmes à qui on en avait laissé la possibilité ne sautaient pas les questions par manque de connaissances, mais plutôt parce qu'elles n'étaient pas assez sûres d'elles. "Si quelque chose au fond de toi te dit 'Tu n'es pas peintre', c'est alors qu'il faut peindre ... et cette voix-là aussi se taira." Vincent Van Gogh La vraie confiance en soi n'a rien à voir avec les fanfaronnades narcissiques. Les personnes qui ont foi en elles-mêmes et en leurs capacités se gardent d'adopter certains comportements. 1. Elles ne se cherchent pas d'excuses S'il y a bien une qualité que les personnes douées d'assurance possèdent au plus haut point, c'est la conviction qu'elles sont capables de faire bouger les choses. C'est de décider, plutôt que d'obéir aux circonstances. C'est pourquoi vous ne les entendrez jamais mettre leur retard sur le compte des embouteillages, ou expliquer leur incapacité à obtenir une promotion par l'injustice de leur supérieur. S'ils ne se cherchent pas d'excuses, c'est parce qu'ils pensent être maîtres de leur propre vie. 2. Elles ne baissent pas les bras Les personnes qui croient en elles-mêmes ne jettent pas l'éponge dès qu'une difficulté se présente. Elles voient les problèmes et les échecs comme des obstacles à surmonter plutôt que des barrières leur interdisant tout espoir de réussite. Cela ne veut pas dire pour autant qu'elles s'obstinent à appliquer encore et encore la même stratégie. Une des premières choses que font les gens sûrs d'eux quand un problème survient est de déterminer ce qui l'a causé et comment ils pourront le prévenir la prochaine fois. 3. Elles agissent sans attendre qu'on le leur demande Les personnes douées de confiance en soi n'ont pas besoin qu'on leur dise quoi faire et à quel moment. Elles ne perdent pas de temps à se demander "Est-ce que j'en suis capable?" La seule question qu'elles se posent quand elles s'en posent est "Pourquoi est-ce que je ne le ferais pas?" Qu'il s'agisse de présider une réunion quand le ou la responsable est absent-e, ou de faire des heures supplémentaires pour résoudre le problème d'un client, il ne leur viendrait même pas à l'esprit d'attendre que quelqu'un d'autre prenne les choses en main. Elles voient ce qui doit être fait, et elles s'en occupent. 4. Elles ne cherchent pas à attirer l'attention. Ceux qui font tout pour attirer sur eux l'attention font généralement mauvaise impression. Les personnes confiantes savent au contraire qu'être soi-même est bien plus efficace qu'essayer de se grandir aux yeux d'autrui. Les gens ne tardent pas à décoder votre attitude, et ils seront davantage séduits par une attitude positive que par la nature ou le nombre de vos relations. Ceux qui ont confiance en eux semblent toujours adopter l'attitude qui convient. Les personnes douées de confiance sont expertes dans l'art de diffuser l'attention. Quand les regards se tournent vers elles après un succès, elles ne tardent pas à braquer les projecteurs sur tous ceux qui ont travaillé dur pour les aider à y arriver. Parce qu'elles tirent d'elles-mêmes le sentiment de leur valeur, elles ne recherchent pas avec avidité les marques d'approbation ou les compliments. 5. Elles n'ont pas besoin qu'on les félicite en permanence. Avez-vous déjà croisé une personne qui avait constamment besoin qu'on lui dise à quel point elle était géniale? Les gens sûrs d'eux n'ont pas ce problème. Cela tient de nouveau au fait qu'ils possèdent un centre de contrôle interne. Ils ne considèrent pas que leur succès soit suspendu à l'approbation des autres. Ils comprennent que, quelle que soit la qualité de leur travail, il se trouvera toujours un esprit chagrin pour émettre des critiques. Les personnes qui croient en elles savent aussi que la confiance qui se nourrit des compliments des autres n'est pas une confiance authentique, mais du narcissisme. 6. Elles ne remettent pas les choses au lendemain. Pourquoi les gens cèdent-ils à la procrastination? Parfois, simplement par paresse. Mais, bien des fois, c'est parce qu'ils ont peur du changement, d'échouer, ou peut-être même de réussir. Les gens qui ont confiance en eux ne remettent pas les choses au lendemain. Parce qu'ils croient en eux-mêmes et pensent que leurs actes les rapprocheront de leurs objectifs, ils ne se contentent pas d'attendre passivement que surviennent le moment favorable ou les circonstances parfaites. Ils savent que le seul temps qui compte est l'instant présent. Si le moment ne leur semble pas favorable, ils s'arrangent pour qu'il le soit. 7. Elles ne jugent pas les autres. Les personnes sûres d'elles ne portent pas de jugement négatif sur les autres parce qu'elles savent que chacun a quelque chose à apporter. Elles n'ont pas besoin d'enfoncer leurs semblables pour acquérir une bonne opinion d'elles-mêmes. En vous comparant aux autres, vous vous fixez des limites. Les personnes douées de confiance ne perdent pas du temps à évaluer les autres et à se demander avec inquiétude ce qu'elles valent comparés à tous ceux qu'elles croisent. 8. Elles n'évitent pas le conflit. Les gens confiants ne perçoivent pas le conflit comme une chose qu'il faut à tout prix éviter, mais comme un élément qu'il s'agit de gérer avec efficacité. Ils ne se montrent pas gratuitement conciliants, même si cela les amène à avoir des conversations désagréables ou à prendre des décisions pénibles. Ils savent que le conflit fait partie de la vie, et qu'on ne peut l'éviter sans renoncer du même coup à ses aspects plus réjouissants. 9. Elles ne se laissent pas arrêter par le manque de ressources. Les personnes sûres d'elles ne se laissent pas désarçonner simplement parce qu'elles n'ont pas le bon intitulé de poste, la bonne équipe ou l'argent nécessaire pour réaliser des projets. Si elles ne parviennent à obtenir ce dont elles ont besoin, elles trouvent le moyen de s'en passer. 10. Elles ne s'endorment pas sur leurs lauriers. Elles comprennent bien que le confort est un danger mortel pour les objectifs qu'elles se sont donnés. Elles savent en effet qu'un confort excessif mène à la complaisance, et que la complaisance mène à la stagnation. Quand elles commencent à se sentir à l'aise, elles traitent ce sentiment comme un signal d'alarme et repoussent de nouveau leurs limites afin de continuer à s'épanouir personnellement et professionnellement. Elles comprennent ce qu'un peu d'inconfort peut avoir de positif. En résumé Imiter le comportement des personnes douées de confiance est une excellente manière d'augmenter vos chances de succès, ce qui dopera votre propre confiance. La science est claire sur ce point il ne vous reste plus qu'à mettre ses leçons en pratique. N'hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires j'apprends autant de vous que vous apprenez de moi. Si vous êtes à la recherche d'autres conseils pour doper votre confiance, lisez mon livre Emotional Intelligence À voir également sur Le HuffPost Le président Vladimir Poutine à droite accompagné de Sergei Ivanov, chef du personnel du Kremlin, et de son Premier ministre Dmitri Medvedev, le 3 décembre 2015 ASTAKHOV En pleine tempête diplomatique, la rencontre entre les chef des diplomaties russe Sergueï Lavrov et turque Mevlet Cavusoglu en marge d'une réunion ministérielle de l'OSCE à Belgrade a suscité un maigre espoir d'apaisement. "Nous avons exprimé notre tristesse et adressé nos condoléances pour la mort du pilote russe", a déclaré M. Cavusoglu, après son entretien avec M. Lavrov. Il s'agissait du premier contact à ce niveau entre les deux pays depuis la destruction d'un bombardier russe par l'aviation turque à la frontière syrienne le 24 novembre. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement M. Cavusoglu s'est félicité de l'atmosphère de cette rencontre d'une quarantaine de minutes, tout en reconnaissant qu'elle n'avait pas débouché sur une percée significative, ce que son homologue russe Sergueï Lavrov a également confirmé. "Nous nous sommes réunis avec M. Cavusoglu ... Nous n'avons rien entendu de nouveau. Le ministre turc a confirmé la position qu'ils ont déjà exprimée, et nous avons confirmé la nôtre", a-t-il dit dans une déclaration à la télévision russe. Avant cette rencontre, les hauts responsables russes refusaient tout contact avec leurs homologues turcs et exigeaient des excuses officielles d'Ankara. Le président russe Vladimir Poutine, après avoir refusé de prendre les appels téléphoniques du président turc Recep Tayyip Erdogan, l'a évité lors de la COP21 à Paris. Mercredi, Moscou avait même accusé nommément le président Erdogan et sa famille de profiter de la contrebande de pétrole à laquelle se livre l'organisation État islamique EI en Syrie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a réagi en dénonçant les "accusations immorales" de la Russie sur une implication de sa famille cette contrebande et mis en cause en retour la complicité de Moscou dans ce trafic. Mais M. Poutine a martelé "Nous n'oublierons jamais cette complicité avec les terroristes. Nous considèrerons toujours la trahison comme l'une des actions les pires et les plus viles". "Il semble qu'Allah ait décidé de punir la clique au pouvoir en Turquie en la privant de la raison et du bon sens", a-t-il poursuivi, provoquant les rires de l'assemblée. Vladimir Poutine s'est défendu de "brandir les armes" dans cette crise tout en promettant de nouvelles mesures de représailles contre Ankara, déjà victime d'un embargo sur ses produits alimentaires et de sanctions visant ses entreprises et son secteur touristique. - 'ils vont regretter ce qu'ils ont fait', dit M. Poutine - Le ministre russe de l'Energie Alexandre Novak a d'ailleurs annoncé dans la foulée que les négociations sur le projet de gazoduc TurkStream qui devait acheminer le gaz russe en Turquie avaient été "suspendues". "Ce n'est pas la dernière fois que nous leur rappellerons ce qu'ils ont fait, ni la dernière fois qu'ils vont regretter ce qu'ils ont fait", a lancé M. Poutine lors de son discours de politique générale. Tout en faisant la distinction entre les dirigeants et le peuple turc, "bon, travailleur et talentueux", le président russe a de nouveau accusé la classe politique du pays de "s'en mettre plein les poches" en protégeant les activités illégales de l'EI en Syrie. Le président turc n'a pas tardé à réagir, affirmant à son tour qu'il détenait des "preuves" de l'implication de la Russie dans le trafic de pétrole de l'EI en Syrie et promettant de bientôt "commencer à les révéler au monde". Les autorités russes exigent sans succès des excuses officielles d'Ankara pour la destruction de leur avion qui provoqué la mort de deux militaires, premières pertes officielles depuis le début de l'intervention russe en Syrie le 30 septembre. La Russie était déjà passée mercredi aux attaques personnelles dans la crise qui l'oppose à la Turquie en accusant directement le président Recep Tayyip Erdogan et sa famille d'être impliqués dans le trafic de pétrole de l'EI, l'une des principales sources de financement du groupe jihadiste. M. Erdogan avait par la suite menacé les autorités russes de mesures de représailles si elles continuaient à "propager des calomnies". Jeudi, le Premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, a de nouveau qualifié de "propagande soviétique" les accusations russes. Washington, qui a appelé à plusieurs reprises au "calme" et à la "désescalade" entre Moscou et Ankara, a fermement démenti mercredi les accusations russes, ne voyant "aucune preuve" soutenant les allégations visant son allié. 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